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Sommaire 2013
 
Va savoir pourquoi les Mayas s’énervaient !  
Mais non, il n’y aura pas de fin du monde en 2013. Il va y avoir beaucoup d’inondations meurtrières, beaucoup de tremblements de terre dévastateurs, beaucoup d’ouragans ravageurs. Encore cette année, le soleil brûlera les cultures et les maladies seront en explosion.  Rien de particulier quoi.
     
La tendance à la polarisation des climats s’accentue encore d’un niveau dès maintenant et il ne sera pas rare de voir un territoire constamment inondé par les pluies, alors que celui voisin se retrouve victime d’une sécheresse qui s’éternise. Il faut s’attendre à de nombreux changements dans la cadence des évènements.
 
Les tremblements de terre et le verglas seront plus fréquents dans la première moitié de l’an avec beaucoup d’activités à l’été, alors que les orages électriques et la grêle le seront ensuite. À partir de juin, la chaleur excessive recommence et la sécheresse va encore s’accroitre, poursuivant le travail d’assèchement des rivières et cultures. Les récoltes vont être lourdement grevées encore une fois.
 
Les morts animales de masse vont continuer à se produire surtout à la fin du printemps et à la fin de l’automne. Cela ne touche pas que les bancs de dauphins ou les floquées d’oiseaux, mais aussi la vie microscopique, celle des grandes zones de mer, des plans d’eau intérieurs, cause des marées rouges et de nombreuses maladies. Ce brassage de la hiérarchie du vivant laissera une place de plus en plus importante aux formes de vies opportunistes, responsables des grandes plaies comme les locustes, les tiques, achevant la destruction des récoltes et la propagation des maladies.
 
Quatre puissantes fenêtres d’évènements vont avoir lieu en 2013. Chacune susceptible de voir se produire des évènements géoclimatiques de l’ordre de ceux records que nous avons vu ces deux dernières années. Des Fukushima, des Sandy, mais aussi des Newtown et des Aurora seront au rendez-vous.
 
Les fenêtres présentées ne sont pas basées sur des alignements simples. Par conséquent, il faut envisager des fenêtres d’effets d’une vingtaine de jours entourant les dates de crêtes. Il m’est impossible d’analyser partout et sous tous les angles, mon analyse se limite donc aux généralités les plus importantes, celles susceptibles de concerner les plus grands groupes possible. Il faut garder à l’œil que les fenêtres présentées soulignent une tendance des effets qui se maintient partout, mais qui ne prendront pas effet partout.
 
La première crête de 2013 se produira le 20 février et la zone d’impact principale sera l’Afrique du Nord et la région méditerranéenne. Un climat guerrier est à prévoir, doublé à la fin, d’une période plus éprouvante pour l’équilibre psychologique, ce qui devrait avoir un effet significatif sur les fragiles-du-haut. Plus de grêles et un peu plus de tremblements de terre qu’à l’accoutumée.
 
La seconde crête se produira le 27 mars principalement le sud-est de l’Afrique. Le climat est encore à la guerre. Il faut s’attendre à des pluies importantes et des inondations. Le niveau de cette fenêtre devrait être de moindre puissance.
 
La troisième crête sera le 19 de juin principalement sur les Philippines et l’Australie, mais aussi en Amérique, apportant une augmentation des tremblements de terre dès la mi-mai en fréquence et en puissance. Inondations et ouragans seront au rendez-vous. Accroissement des morts massives animales. Une nouvelle poussée de crise chez les fragiles du haut devra être envisagée à partir de la première semaine de juillet
 
La dernière crête sera aura lieu le 3 novembre principalement sur la côte ouest de l’Amérique. Au-delà des feux de forêt qui devraient être assez importants, il faut envisager une crise des fragiles du haut dont l’effet se poursuivra jusqu’à la fin de décembre.
 
La stratégie du plan humain a toujours été la même. C’est en relevant l’histoire récente qu’il est le plus facile de comparer. Ce n’est pas la première fois qu’ils agissent ainsi, ils le font à l’abord de toutes les crises climatiques.
 
En comparaison, nous sommes immédiatement aux abords de 1929 et de la crise financière qui a plongé le monde dans le tourment ajoutant tout son poids sur une sécheresse qui allait s’appeler le DustBowl, la véritable cause de la famine qui s’est ensuivie. À des temps plus anciens, les É.U. se seraient transformés en dictature, mais ils n’ont pas eu besoin de tels extrêmes en 1929, car ils disposaient de nouveaux outils permettant de dominer le peuple, l’argent et la propagande.
 
Comme il se profile maintenant à l’horizon, les rivières se sont taries et les terres arables étaient emportées. Les fermiers vidés de leurs bas de laine par les manigances de Wall Street, se voyaient acculés à la faillite par milliers, juste à temps pour servir de main d’œuvre dans les broyeurs de population humaine, les guerres. Durant les années qui suivirent, devenir militaire ou ouvrier à la production d’armement furent les seules portes de sortie pour que des hommes puissent nourrir leurs familles.
 
Ainsi en divisant, en explosant du coup toutes les vulnérabilités de la société, ils peuvent cacher les traces de leurs exactions. Ils peuvent cacher qu’ils utilisent sans vergogne la misère humaine pour s’enrichir et se dorer la pilule.
 
Comme maintenant, cette crise était orchestrée pour profiter habilement des richesses de tous, dans une débâcle qui n’aurait pas de véritables responsables, que des victimes. Pour parvenir à de tels résultats, une préparation est nécessaire.
 
Le mode réveil, celui où la masse de la population, ajoutée à celles des positions médiatiques s’obligeront à envisager la possibilité que la situation soit très mauvaise, va survenir brutalement. Dès que le chat va se grimper dans le poteau, la société va changer du tout au tout en quelques semaines à peine, aidée par une élite qui restera bien au chaud dans leur refuge. Le chaos par l’économie, l’électronique, les télécommunications, l’argent, le pétrole, l’électricité, l’approvisionnement nourriture, l’approvisionnement médical.
 
Profitant des climats de guerres, ils vont envoyer des forces d’intervention et déclencher des guerres. Profitant des climats de folleries, ils vont introduire des lois visant à restreindre les libertés tels que la question des armes à feu. Profitant de la famine et des maladies, de l’éducation populaire qui remet le sort de tout un chacun entre les mains de son gouvernement et du laxisme des populations, ils vont imposer ce qu’ils veulent.
 
Pour que le plan se déroule comme un mécanisme huilé, la totale humaine devra survenir avant la totale divine. Signifiant par là, que les outils du plan humain seront mis en œuvre avant que les très grands évènements ne frappent.
 
Nous en sommes à l’ère du  Duck Tape. Tout ne tient par la peau des fesses et la propagande du complexe militaro-industriel. Avant longtemps, il ne sera plus possible de dissimuler le jupon qui dépasse, une brèche s’ouvrira dans le barrage et rien ne résistera. N’allez pas croire que vous êtes protégés par votre nom, votre titre, votre nationalité ou quelque autre artifice. Bien qu’il y aura certainement des variations locales, le plan est le même partout. Ils possèdent l’opportunité de réaliser un effondrement d’un coup, ou de le faire en séquence, continent par continent. La cloche est sonnée et le compteur tourne. Je m’attendais à ce que ça dégénère plus que ça à l’automne, mais ça a tenu. La crête de l’été, est celle qui est la plus à risque, mais considérant que les effets des niveaux de 2014 seront tels qu’ils ne pourront pas être dilués, il faut envisager le pire.
 
Nous aurons quatre puissantes crêtes en 2013.
 
Entre février et juin 2014, s’ajouteront neuf autres de ces crêtes, toutes susceptibles de très grands évènements, soit une magnitude plus importante de celle ayant prévalu lors de Sandy.
 
Entre juin 2014 et décembre 2016, les grands évènements seront en quantité innombrable. Ils n’arrêtent plus.
 
Pierre de Châtillon 2013