Dessine-moi un mouton.

La Renaissance, l’industrialisation, l’électrification, l’électronique, l’optique, le numérique sont arrivés comme des vagues submergeant tout le reste. Depuis des siècles, le développement de nos sociétés est cadencé au rythme d’un tambour invisible qui n’a rien à voir avec les impératifs courts que nous en connaissons, comme l’argent ou la politique.

Et pourtant, la plupart des idées, des concepts, des inventions qui ont marqué notre monde jusqu’au milieu du 20e siècle existent depuis toujours. Il y a toujours quelque part un livre, un auteur, une épopée, une légende antérieure portant sur le sujet ou y faisant référence. Des armes, des outils, des principes que jamais nous n’aurions envisagés dans les mains de nos ancêtres.

Sous la main des magiciens, des religions et ensuite par l’aristocratie, les librairies du savoir commun étaient détruites comme il est arrivé tant de fois dans l’histoire, mais ce qui était bon ou utile finissait toujours par réapparaitre au moment opportun. Des atouts exclusifs.

Notre histoire est un assemblage de demi-vérités écrites au gré des conquérants, visant à dresser une rétrospective acceptable. Notre science, c’est la science populaire, celle qui ne dépasse pas la vitesse de la société. L’autre science, c’est celle des secrets qui se conduit dans les officines, à l’abri des regards. Nous sommes le fruit d’un conditionnement social sous l’emprise des médias.

Par des manœuvres politiques, par la puissance de l’argent, par celle de l’intelligence, par l’exploitation des travers humains, par des modes, par des mouvements, usant de fines stratégies, de la puissance des médias ou de force brutale, une main invisible intervient sur le développement de nos sociétés à travers le temps, en fonction d’objectifs occultés qui n’ont rien à voir avec le bien-être populaire.

Oublier, c’est être condamné à recommencer encore et encore. Une perspective dans laquelle, le peuple n’est qu’un vil outil, un mal nécessaire à la conduite des choses.

Ce que je m’apprête à vous dire change tout!

Et même si vous compreniez ipso facto que vous avez là quelque chose de hautement anormal, qui ne cadre pas du tout avec la science et les connaissances modernes ou avec vos propres convictions, vous n’en comprendrez pas immédiatement toutes les ramifications. Ça demeurera un os, quand même bien vous déchireriez votre chemise!

Les anciens cultes de la terre possédaient en commun la croyance que pour s’attirer les faveurs des dieux, ils devaient se faire voir d’eux en se représentant au sol plus grand que nature.

C’est ainsi qu’ils se représentaient à la grandeur de leur territoire, parfois avec des plantes ou des pierres colorées, parfois c’étaient les terres mêmes qui étaient façonnées et découpées à leur image. Songez aux géoglyphes de Nazca, réalisés de main d’hommes, visibles à des kilomètres de hauteur et qui perdurent dans les déserts de la pampa depuis près d’un millénaire.

Description: Cerne Abbas Giant

 

Ou encore au Géant de Cerne Abbas en Angleterre qui mesure 50 mètres.

 

 

Ces représentations pouvaient parfois prendre des dimensions gigantesques.

La différence entre des lignes de la nature et un profil de visage? C’est l’œil qui fait foi de tout. Aussi grandes soient-elles, tous ces profils possèdent un œil placé là où il se doit.

Ici sur l’ile de Mansel en Arctique, les restes de deux grands visages réalisés en dénudant la pierre s’opposent de chaque côté d’une crique, alors qu’à gauche, le profil d’un visage encore plus ancien qui regarde vers le ciel est découpé à même la côte.

Ces visages font plus de 25 km de hauteur alors que celui découpé dans la côte fait 40km.

Description: ascension

 

 

Ou encore ici, sur l’ile de l’Ascension, assise en plein milieu de l’Atlantique Sud.

 

 

Il faut savoir que les visages n’étaient pas le seul dogme de ce culte universel ancien.

Informer les dieux sur notre location, sur notre apparence, n’était pas suffisants. Il fallait aussi lui communiquer notre histoire.

Comme sur la terre à plusieurs endroits, les anciens, tant pour les dieux que le bénéfice de la postérité, inscrivaient au sol l’histoire de leur nation dans un format normalisé, dont la séquence instruisait les dieux sur qui ils étaient.

Ligne de temps sur la Côte-Nord du Québec près de l’Archipel de Saint Marie, la séquence de personnages en action, inscrite à même la pierre dénudée de sa tourbe, présente un segment d’histoire d’une ancienne nation. Elle est inscrite au sol selon une périodicité cadencée par les générations successives et puisqu’elles s’étirent toujours dans la même direction, elle devenait le témoin aux dieux de l’histoire des générations successives de la nation.

 

 

 

Ces lignes de temps sont souvent très courtes. Mais il arrive parfois qu’elles s’étirent sur de longues distances.

C’est dans les petits détails que les mensonges se révèlent.

Si la NASA a communiqué de l’information sur ses missions, elle en a caché beaucoup plus encore. NASA signifie « National Aeronautics And Space Administration », une agence gouvernementale qui fut créée dans le but de transférer au domaine civil des connaissances acquises par les militaires sur les voyages dans l’espace. Architecturée autour d’un ADN militaire remontant à la fin de la guerre, elle n’a jamais eu comme mission d’informer le public, sinon en ce qui concernait la matière civile et dans la mesure où cela n’interférait pas avec la sécurité nationale.

S’il est un endroit où il est possible de constater facilement l’application d’une censure par les spécialistes de l’espace, c’est justement dans les produits dérivés disponibles de la NASA et des autres organisations spatiales, comme entres autre les photos satellites de la Terre, de la Lune et de Mars, toutes disponible à travers des fournisseurs de solution comme Google Earth. Des hachures, du faux brouillard, de la fausse glace, de la répétition d’images, une résolution parfois si basse, qu’elle est surpassée par celle de la Lune ou de la planète Mars. De nombreux stratagèmes ont été utilisés pour cacher des images satellites de la terre en dépit de la mission apparente d’informer. Il y a bien sûr une censure qui sert aux fins de la sécurité nationale, mais de nombreux endroits sis dans les coins les plus reculés de la planète et même jusqu’au plus profond des mers, ont été ainsi dissimulé. Parfois ce sont des surfaces très grandes, alors qu’à d’autres elles ne sont que des rapiéçages qui ne dépassent pas quelques kilomètres carrés.

Lunar Orbiter était un programme de la NASA des années 1966 et 1967, qui visait à photographier et cartographier par satellite la surface lunaire, incluant la face cachée, de façon à permettre de trouver des terrains d’alunissage adéquat pour les vols de la mission Apollo.

Durant ces deux années, cinq vols ont permis d’imager la totalité de la surface lunaire dans une résolution acceptable et certains endroits en haute résolution, en la découpant en bandes étroites d’une douzaine de kilomètres de largeur, des bandes qui se démarquent  clairement sur l’imagerie satellite, par l’envoi à même les relevés d’une fine ligne pointillée de couleur blanche utilisée pour le jointement de précision des bandes entre elles.

Or, il s’avère qu’une de ces lignes pointillées souligne sur plusieurs kilomètres, à la façon d’une ligne pour écrire dans un cahier de la petite école, un artefact qui appartient à la lune. Un artefact si simple et si important en fait, qu’il ressemble même à une faute des capteurs satellite et qu’il excède les seuils de contrôle des mécanismes de floutage appliqué sur toutes les photos.

Dorsum Oppel Mare Crisium

Ici, dans une séquence prise à affleurement dans le nord du Mare Crisium, il est possible de constater au sol cet artefact de la lune, un bandeau rigoureusement linéaire composé d’une suite de variations de teinte, qui s’étire à la gauche de la ligne de démarcation pointillée des images satellites.

Mais ce ne sont pas là de simples taches au sol.

 

 

 

Voici un composite d’images permettant de mieux apprécier la complexion de la ligne de temps.

Exemple de ligne de temps. D’une largeur de 6700 mètres et long d’une trentaine de kilomètres.

 

Description: Runic_calendar_diagram

Sa composition s’apparente à celle d’un calendrier runique avec qui elle partage les origines. Runic, signifie runen ou « se déplacer rapidement au long ». C’est là la définition d’une ligne de temps.

 

Elle comporte une triple trame, la première est constituée de grandes images partiellement effacées qui apparaissent en filigrane et s’étendent à la largeur de la ligne de temps. Sur cette première trame sont surimposée au sommet et au bas, deux autres trames beaucoup plus contrastées de 2600 yards de largeur, constitués de séquences d’individus et d’objets vus de profil montrant des actions. Entre les deux, les images originales ont été effacées, sans doute au profit des nouveaux héros ou rois.

La ligne est divisée dans le temps par l’usage de caractères récurrents, comme de grandes lignes penchées chargées comme des totems, qui traversent la largeur de la ligne de temps. Elles pourraient référer aux grands cycles climatiques, ou à des périodes de crises sociales, ou à la périodicité orbitale de planètes de référence comme il existait sur la terre à ces vieilles époques, telle la conjonction Jupiter Saturne.

« Concrétions calcaires de surface » dira le géologue patenté.  « Barbouillages qui ne prouvent rien! » lancera l’orthodoxe en déchirant sa chemise en arguant que quelques kilomètres de telles formes peuvent surgir de n’importe où et ne sont nettement pas suffisant pour en tirer de telles conclusions. Une trentaine de kilomètres non. Mais comme je l’ai mentionné, ce n’est qu’un échantillon. Elle dépasse de loin ces 30 kilomètres.