Vision globale du climat pour les prochaines années.

Nous sommes en juin 2025.

Dans le passé, mes prédictions chocs ne se sont pas aussi bien réalisées que les grandes prédictions. Celle qui s’approche n’est pas comme les autres. Cet alignement était connu, mais pas sa durée critique ni ses effets. Ma découverte du rôle joué par la planète secrète des anciens, Uranus,  est capitale. Elle a non seulement permis de comprendre les erreurs dans les prédictions passées et de situer les crises anciennes, mais aussi les crises du futur et leur intensité.  

L’époque est jeune. Ça n’ira pas en s’améliorant.

Les feux, les inondations, les sécheresses, les périodes de froid, les tremblements de terre, les tempêtes, les ouragans, les tornades. Convenons qu’avant 2000, les bouleversements climatiques étaient rarissimes et que depuis, ils n’ont cessé de nous frapper dans une escalade qui n’a jamais cessé, au point où aujourd’hui, il y a toujours une catastrophe courante quelque part dans le monde. Il y a quarante ans et aussi loin que les relevés climatiques existent, le Canada enregistrait en moyenne 19 catastrophes naturelles par décennie. Aujourd’hui, ce chiffre est passé à 133.

 Et puis dans la même période pour la première fois de notre ère, il y a eu les volcans sous-marins qui se sont mis à chauffer la mer, il y a eu l’œil de Jupiter qui a disparu pendant un moment, il y a la crise solaire actuelle.

 Comme si ce n’était pas assez, pour la première fois de notre siècle il y a la guerre qui s’est allumée un peu partout avec ses exactions sournoises. Une pandémie qui a sacrifié nos vieux. Des changements de société imposés aux conséquences néfastes comme le globalisme, l’immigration débridée, l’hyper démocratisation des connaissances, l’apprentissage sans discernement, le clivage des classes.

 Mais l’empire auquel nous appartenons a décidé de cacher la simultanéité de ces évènements et même leur venue, pour ne laisser que la partie apparente, celle dans laquelle la floquée des contribuables pourrait être la responsable, le climat.

 L’empire auquel nous appartenons nous a même caché que la terre a déjà subi des changements sévères, des réchauffements, des refroidissements, des tremblements de terre catastrophiques, similaire à ceux de l’époque moderne, cadencée  au rythme des siècles.

 Cet empire a de plus caché la cause véritable connue depuis l’origine des temps. Une cause qui impliquait une éternelle répétition d’évènements similaires. Une cause qui impliquait que la venue de ces évènements était connue depuis des temps immémoriaux des empires qui mènent les peuples.

 La faute de l’activité des hommes? Vraiment? Il faudrait être aveugle! Le réchauffement climatique occasionné par l’homme sera retenu comme ayant été une des plus grandes fraudes du monde moderne.

 La véritable cause.

 Il existe, dans l’espace autour de la Terre, des zones très énergétiques qui, lorsque perturbées par le passage des planètes circulant dans le système solaire, concentrent alors ces rayonnements sur le soleil et la terre et modifient le géoclimat.

 Il arrive au fil des éons, que plus d’une planète y passe à la fois, multipliant les effets. La durée de la course des planètes étant connue, elle permet de déterminer le moment des prochains alignements même des millénaires à l’avance. Selon les planètes incluses dans l’alignement, l’angle révélera la latitude et il sera possible de déterminer les effets.

 En plus des planètes connues par les anciens Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, la plus lointaine du lot, deux planètes cachées étaient la clef dans cette réalisation de puissance, Uranus et un facteur de temps venant des anciens temps représentant la course de Pluton.

 De ces énergies entourant la planète et le système solaire, il est un corridor énergétique beaucoup plus puissant que le reste, une rivière qui traverse le système solaire aux positions correspondantes aux solstices d’été et d’hiver. Quand ça et ça s’additionnent, c’est le chaos ici-bas.

 Les prophéties de Nostradamus ne sont en fait que des prédictions.

 L’état de la situation.

 Tout cela était longuement analysé par les anciens avec des planétariums ou encore l’astrologie, des outils permettant de situer les alignements. De fait, toutes les cultures avaient identifié une aire de temps singulière à la fin du vingtième siècle. Ce n’est pas un hasard que cela se produise autour de 2000. Le calendrier même a été construit pour refléter la venue de ces crises.

 Depuis une trentaine d’années, Pluton est dans ce corridor, ouvrant la porte au crachin qui nous affecte depuis ce temps. Il y a peu, Uranus est entré dans la constellation précédant  ce corridor, la constellation du Taureau. Bientôt, les autres planètes rejoindront cet alignement.

 L’escalade des évènements va se poursuivre avec des soubresauts. Les pires périodes de l’année seront les quelques mois entourant les solstices d’été, le 21 juin pour les prochaines années. Principalement les années 2028, 2030 et 2032, moment où les soubresauts deviendront beaucoup plus violents.

 En 2032, le soleil et toutes les planètes du système solaire seront quasi alignés sur le solstice d’été, le 21 juin, le grand corridor d’énergie, le climax de la crise. Comme dans le chas d’une aiguille, disaient les anciens. Les mois qui précèdent cette date et ceux qui la suivent seront très sévères. Personne ne sera à l’abri. Vous devrez être prêt à décamper.

 Comme toujours, les nations opportunistes profiteront du moment pour reprendre leurs vieilles querelles et avancer leurs pions par la guerre, c’est déjà commencé, jusqu’à devenir un embrasement généralisé qui entraînera tout le monde pour 2032.

 Une projection détaillée des évènements devrait être disponible dans les prochains mois.

 En pièce jointe, Le Rouge.

 Pierre de Châtillon

 

 

Le Rouge

Albert Speer, l’architecte d’Hitler, raconte dans son second livre comment Hitler, à partir de sa retraite des Alpes,  a réagi à la vue d’une lumière rouge très intense, en pleine nuit, dans le ciel de l’est en août 1938. Il le prit comme un signe s’exclamant « Maintenant, c’est le temps de répandre le sang. » Il interpréta le spectacle naturel comme l’accomplissement du Second Secret de Fatima. Trois mois plus tard se déroulait la nuit de Cristal, un pogrom ordonné par Hitler, dans lequel 250 synagogues et des milliers de commerces appartenant à des juifs furent détruits.  Une des prémisses de la Shoah.

Ce n’est pas la seule fois de l’histoire ou un ciel rouge semblable devint prélude à la guerre. Il y a de nombreux exemples. En fait, un tel signe annonciateur est apparu à la plupart des guerres et c’était effectivement considéré par les peuples du moment comme un signe des dieux annonciateur de guerres.

Le ciel rouge est le fruit d’un rayonnement occasionné par la ronde des planètes, certains alignements et le cycle solaire.

Tchijevsky, un scientifique russe s’intéressant au phénomène au début du vingtième siècle, avait déjà constaté une version miniature de l’évènement de Carrington lors de la Première Guerre mondiale et des modifications dans le climat humain. Voici ses commentaires : « L’apparence de larges taches solaires était immédiatement suivie par une augmentation simultanée des activités de guerre sur différents fronts. La première observation fut faite au milieu de juin 1915, lorsqu’un large groupe de taches solaires croisa le méridien central du soleil, et quand les aurores boréales furent très puissantes en Amérique du Nord et dans le nord de l’Europe, et que les tempêtes magnétiques étaient exceptionnelles et interféraient avec le fonctionnement du télégraphe. Au moment de ce phénomène, les combats les plus difficiles et les plus sanglants de la Première Guerre mondiale étaient conduits par les Allemands, les Français, les Russes, les Autrichiens, les Serbes et les Anglais. »

Et il n’y a pas que le climat humain. Pendant 648 jours, soit près de la moitié de la durée de la guerre, la pluie et la neige s'abattirent sur le front occidental, transformant les tranchées en boue et en misère. Pendant plus de deux semaines en janvier 1915, plus de 11,5 cm de pluie tombèrent sur le nord-est de la France, soit le double des précipitations habituelles à cette époque de l'année.

Ce rayonnement est plus qu’un annonciateur, il est la partie visible d’un rayonnement causal qui affecte la Terre pendant des années et initie une série de maux concernant le géoclimat et la vie.