Dernière lettre aux cornucopieurs. 29 mai 2013
Bonjour à tous.

Je m’étais engagé à vous présenter en direct mes avancées sur la turbine. Je m’attendais à arriver à une mise en oeuvre, mais le sort en a décidé autrement et je ne peux présumer du moment auquel je retournerai à mes travaux. À ce moment, il faut savoir que j’ai pu mettre en évidence une rotation de l’eau dans les deux directions et j’ai pu mesurer une nette différence dans la vitesse de rotation.  

L’analyse de l’usage des forces hydrodynamiques dans les oeuvres anciennes m’a permis de faire quelques découvertes, dont une particulière, qui en plus de souligner les mythes propagés par la science moderne, en plus d’être une embûche au déroulement du « plan », sera certainement d’une grande utilité pour vous et vos proches, quelque part dans le futur.

C’est grâce à vous et à votre support que ce nouveau pas a pu être franchi et je vous en remercie.  

Bien que dans les prochaines semaines, il y aura un document qui en fera part, c’est en exclusivité que je vous communique cette découverte.

J’espère que vous apprécierez.

C'est de cette page que je vais traiter des cornes en cours.

« …et j’envisage suivre une formation en hydrodynamique » L’hydrodynamique moderne repose sur un modèle de compréhension différent de celui des anciens. Le modèle moderne est infiniment plus lourd et peu abordable. Je peux t’expliquer avec trois ou quatre dessins les raisons pour lesquelles un boomerang revient et tu vas comprendre aisément. Je peux aussi te saouler avec des pages de formules et tu n’y comprendras rien, à moins d’avoir été éduqué à un langage spécialisé qui fut créé comme un outil de contingence visant à écarter le peuple ordinaire pour en conserver l’exclusivité. Tu n’as qu’à comparer le début et la fin de cette page pour te convaincre facilement de cette différence. Tous, sont à même de comprendre la première explication avec un peu de patience, mais la seconde vous demandera des années de labeur. Le modèle ancien contient un raisonnement plus abordable et plus facile à manipuler, donc accessible et utilisable par celui qui ne possède pas les spécificités de ce langage. De plus, il permet un éventail de possibilité beaucoup plus grande, incorporant une foule de choses par des liens qui sont aujourd’hui mystérieux, incompréhensibles ou simplement inconnus. Il permettait à tous, l’accession à un niveau de connaissances riches offrant un terreau fertile en idées, que chacun pouvait transporter dans sa vie de tous les jours et en tirer avantage. Pas étonnant qu’il soit devenu une menace à l’Empire. Sous cet angle, je suggère de poursuivre avec les lectures des anciens documents sur l’hydrodynamique jusqu’à la période de Schauberger. Ils sont ceux qui permettent la compréhension du modèle ancien. Après, tout s’est transformé en hydrodynamique moderne, un savoir exclusif. Le savoir protège, ne l’ai-je pas toujours dit!

« …votre projet de cornes ? » Je n’aime pas annoncer mes couleurs avant le temps. J’ai avancé. L’apprentissage fut riche et il y a des réalités sur la table qui prennent différentes formes, mais je jongle à la limite des ressources disponibles et je dois constamment restreindre mes efforts.

Pour l’instant, je n’ai pas encore décidé de ce qui fera l’objet d’une diffusion publique.

« comment est-ce que la corne sépare l’hydrogène de l’oxigène? »---Ne confondons pas. J’ai parlé dans le passé d’une invention intéressante surgie sur le web, permettant la décomposition de l’eau en hydrogène et oxygène, en utilisant une électrode d’aluminium sur un cylindre tournant dans l’eau que je m’étais amusé à reproduire. Cette expérimentation simple a révélé des résultats intéressants que j’ai partagés avec tous, mais cette question ne m’intéresse pas outre mesure et je n’y ai pas dépensé d’énergie autre, que ce dont j’en ai dit. Rien à voir avec les engins de Schauberger et il n’y a aucune conversion de cet ordre avec la corne.

En attendant, voici une photo de la partie inférieure de ma répulsine que j'avais omis de vous montrer
« Est-ce que ça avance? » Non en fait ça recule et je dois revoir la conception. Plate, mais ce n’est pas un mauvais signe. Il y a encore de l’espoir.
Les composantes sont terminées tel que je les avais planifiées. Les essaies préliminaires démontrent un résultat qui se conforment au plan. Il y a encore loin de la coupe aux lèvres, puisque l’assemblage va nécessiter de nombreux ajustements.
"...voler la machine de Schauberger...puisqu'elle appartient au peuple"---Ça ne serait certainement pas une mauvaise idée, mais elle ne fonctionnera pas. Du moins, pas la reproduction que j'ai vue en images, car il manque une composante essentielle. Cette composante apparait sur les photos originales de l'engin, mais pas sur la reproduction. Celle d'Euler, la reproduction dans l'article original sur l'énergie libre, semble complète et pourrait être remise en service, mais elle a disparu d'Internet et n’arrive plus à me souvenir ou elle était.
L'objectif n'a jamais été de reproduire son engin. Je n'ai pas accès aux capacités qu'il avait, j'en suis incapable. D'ailleurs, faut savoir si le besoin est là. Cet engin est gros et c'est un monstre de puissance qui éjecte son eau avec la même force que celle utilisée dans les coupeuses hydrauliques à métaux. Il demande une armature lourde et n'a jamais été conçu pour une maison. À partir des données fournies, un engin à la puissance suffisante pour une maison ne dépasserait pas 20 cm de côté. Il faut donc imaginer un engin à basse vélocité qui ne soumettra pas les composantes à un stress mécanique aussi intense. Sa durée de vie serait accrue et les composantes théoriquement plus accessibles. Ce n'est pas un handicap.
C’était il y a bien longtemps. Au cours d’un souper organisé dans le cadre du travail à l’approche de Noël , un des confrères avait apporté un casse-tête composé de pièces de bois reliés par une corde, qu’il déposa sur la table pleine de pichets de bière à moitié vides. Un peu alourdis des vapeurs de l’alcool, tous regardèrent longuement le bidule et après de longues minutes, il fut décrété par les gens autour de la table d’une voix commune, que le casse-tête en question était un attrape-nigaud impossible à réaliser.
 
Alors que tous étaient passés à autre chose,  un d’entre nous manifestement insatisfait à l’idée qu’un casse-tête soit irréalisable n’avait pas décroché son attention du bidule et le manipulait discrètement sous la table. Après un long moment, sans dire un mot et s’assurant de regarder tout un chacun dans les yeux pour bien marquer son succès, il déposa les pièces du casse-tête sur la table avec une lenteur mesurée.
 
La scène un peu théâtrale eut l’effet escompté et les galoches se décrochèrent jusqu’à pendouiller. Un long moment de mutisme s’ensuivit mêlé d’un parfum d’humiliation, avant qu’un autre personnage de la table soupçonne qu’un stratagème avait été utilisé pour le défaire. Voilà que le type en question reprend le casse-tête sous la table avant de le replacer assemblé en un instant, mettant court à toute hypothèse susceptible d’égratigner son succès.
 
Dans les minutes qui suivirent, tous comprirent d’eux-mêmes la façon de dénouer le mécanisme et furent capables de le démonter et de le remonter allègrement.
 
La leçon est simple.
 
Ce que nous ne pouvons entrevoir avec notre esprit est impossible.
 
Au fil du temps, j’ai ramassé plusieurs centaines de représentations de sampos, ces trompettes de pierre qui disparaissent dans le sol et que les anciens utilisaient pour l’énergie mécanique. Jeune, je me suis baigné dans une de ces trompettes à la Baie Saint-Paul, en me demandant comment la nature avait pu arriver à produire un résultat aussi parfait. Parfait que je dis! J’ai vu des monuments dont les pierres n’étaient pas aussi bien jointées.
 
Je cherche, car il y a fracture. Il y en a partout de ces sampos! J’en ai même retrouvé possédant des corniches de pierre servant à accélérer l’eau, exactement comme une corne le ferait. Personne n’a de temps à perdre à réaliser de telles choses si elles ne servent à rien. Il est clair que la technique d’accélération de l’eau est si efficace, qu’elle pourrait multiplier par trois les capacités hydroélectriques actuelles. Revenir avec des turbines à pression d’eau, c’était revenir au cheval et ce seul exemple est le témoin de la grande tutelle que je décris sur mon site. La période qui s’ensuivit en fut une de décadence, mais la disparition d’un tel atout aussi accessible à tous, ça n’est pas possible. Ce qui est bon ne disparaît pas.
 
Par ailleurs, les mêmes connaissances nous sont revenues par Euler sous un format mathématique moderne, donc spécifiquement conçu pour être inaccessible au commun. En ajoutant quelques pièces disparues en cours de route, elles sont devenues l’hydrodynamique moderne. Dans tous les cas de figure, l’eau n’est qu’un véhicule de transmission des forces. Elle en assure une transmission la plus parfaite possible, mais ne communique aucune énergie mécanique par elle-même. Un autre principe doit le faire.

« Que voulez-vous dire par perfection? » Un fini parfait. Impeccable. Miroir. Tout le bataclan tient à cause de l’énergie dynamique et cette énergie est le produit du mouvement de l’eau. Tout ce qui interfère avec le mouvement est à proscrire.

"...argent..." Certainement qu'une assistance financière serait formidable, mais elle vient avec des liens qui sont autant d'interdictions à sa libre diffusion. Mortel. Et même si un projet quelconque passe le point zéro, c'est encore plus dangereux d'aller utiliser leur outil.

D'une part, que ce soit point zéro plus .01, ou .1, ou 100. n'est qu'une question de principe. Dès que ce seuil est atteint, celà signifie que le modèle est compris et le reste n'est plus que de la technique joyeuse. Du connu. Idem pour la durée de vie des composantes. Actuellement une considération secondaire, puisque non essentielle.

Mais le point zéro change beaucoup de choses puisqu'il délimite clairement un sentier qui peut être mesuré et quelques bonnes certitudes, comme les composantes finales et un coût de revient.

De là c'est une entrée dans la jungle de la piastre, avec une croissance directement reliée à son efficacité et à la quantité d'argent injectée dans la production. Une efficacité comme celle-là devrait permettre la place d'une micro-production semi-industrielle permettant un retour immédiat, laissant de la place à la croissance, sans faire usage de cet outil d'esclavage. L'exclusivité conséquente d'une interdiction sociale donnera un certain répit.

En fait, si je devais aller à la banque un jour, c'est que j'aurai vraiment déraillé de mes principes sur cette question.

Mécanique complète et la pompe, pompe. J'entreprends deux composantes critiques.
Me rappeler de ne jamais brancher la pompe dans la mauvaise direction et d'acheter des serpillères.
Je dois reprendre une partie de la mécanique.
La structure est complète, je complète la portion mécanique bientôt.
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Erreur à ne pas répéter.

-Ne jamais tenir la tronçonneuse par la lame lorsqu'elle tourne.
-Un bidule trop gros ne passe plus par la porte et devra être coupé pour le sortir de la maison.
-Se prendre le doigt entre une poulie et sa courroie, c'est comme se donner un coup de marteau sur le doigt, à la différence que le marteau continue d'appuyer contre le doigt.
Je suis à finaliser les cornes qui me seront utiles dans le projet et à terminer la portion mécanique. Il me manque quelques poulies en "V" - courroies - en plus d'une pompe mécanique raccordable sur un arbre. Si vous possédez une boite de ces vieilleries qui dort dans un coin et que vous ne demeurez pas trop loin, laissez-moi savoir!
Toutes les cornes commandées ont été livrées.
Comme je vous avais dit, je ne deviendrai pas cornucopieur à temps plein. J’arrête donc la fabrication de cornes. Le moule à corne est encore bon et j’en referai certainement quelques coulées, mais plus tard.
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Attention, ne vous méprenez pas!
 

Malgré les apparences, cette corne n’est pas qu’un simple tuyau hélicoïdal torsadé à section ovoïde asymétrique décroissante sans aspérité intérieure! Malgré les apparences, cette corne ne fait pas que tirer parti de la force dynamique de l’eau en mouvement sous l’effet de la gravitation pour l’expulser à une vitesse qui défie les connaissances. Malgré les apparences, je n’ai pas fait ces cornes pour vous, mais pour moi.  
 
C’est avec la même rigueur et le même amour que j’ai façonné chacune de ces cornes pour en faire des objets exceptionnels qui vont durer.
 
Cette corne de 15 centimètres possède un orifice d’expulsion de un cm et  une gorge de 3 cm munie d’un réceptacle servant de base et permettant d’introduire l’eau. Elle a été fabriquée à partir d’une âme moulée, recouverte de quatre couches d’une résine de synthèse adaptée et d’une fibre formant un revêtement très solide, inerte et sans danger pour la santé. C’est un bibelot magnifique. J’en suis très fier et mon nom est dessus.
 
Chacune est calibrée pour offrir la meilleure performance possible et elles sont d’une efficacité remarquable qui se passe de commentaires.

La technique est à point et les moules sont chauds. Mais ils ne le resteront pas, car il y a encore beaucoup à faire. Si vous désirez vous prévaloir de cette opportunité, c’est le moment ou jamais et je vous laisse la chance encore quelques jours.
 
Bien que le prix proposé ne reflète pas le coût des matériaux et le travail exigé, il sera maintenu à $150.00, avec des frais de livraison de $14,00. (Environ 130 euros) C’est livrable partout. De la commande à la livraison, il faut prévoir environ trois semaines.

(N.B. À ceux qui en ont réservé une, les livraisons vont débuter pour la fin de la semaine prochaine.)
 
Amitiés
Pierre
La corne d'apparat ne pourra pas être en résine transparente. Malgré mes prétentions, je ne suis pas capable de centrer le conduit intérieur de façon satisfaisante et je vais devoir utiliser la même technique de recouvrement pour toutes les cornes. La corne d'apparat sera crème, la couleur de la résine utilisée.--- Je vous présente ça bientôt. Pierre
Si je fais un forum privé concernant le projet que j’ai avec la corne, il n’est pas question d'exclure des gens intéressés parce qu’il n’ont pas les moyens de se payer une corne. 
Mais vous devez en avoir une pour y être! Alors, mettez-vous-y dès maintenant si vous désirez être à bord. J’ai donné toutes les techniques nécessaires à se fabriquer un quadrhyton pour presque rien. Certainement que si vous avez eu la patience d’en fabriquer un, ou une corne et que ça fonctionne, vous méritez d’y être et vous n’aurez qu’à m’envoyer les photos pour participer. Il en va de même pour ceux qui ont acquis un quadrhyton de ciment en 2008.
 
Si le domaine vous intéresse, c’est le moment.
Cadeau de Noël inopiné?
 
J’avais mis des réserves à l’écart pour mon projet, mais mémé a tout usé et je vais faire court feu avant longtemps.
 
Comme beaucoup se sont montrés intéressés par les cornes et que le moule va durer assez longtemps, j’envisage une production en quantité limitée d’une corne d’apparat.
 
Semblable au quadrhyton, cette corne permet l’accélération de l’eau en fonction d’un principe hydrodynamique simple identifié par Schauberger et offre une performance légèrement supérieure. Sur le même modèle que je vais utiliser dans mon prochain projet, cette corne de 17 cm est construite autour de l'âme fabriquée plus tôt. Le tuyau torsadé à la section ovoïde asymétrique décroissante sans aspérité intérieure(fiou!) résultant de cette âme sera enchâssé dans un écrin de résine cristalline transparente et munie d’un bol à sa gorge, permettant d’expérimenter et servant de reposoir.
 
Ceux qui le désirent pourront aussi obtenir la version finale telle que j’entends l’utiliser dans mon projet. Plus technique, la corne ne possède pas de bol et son revêtement laisse tomber l’apparence pour viser avant tout la longévité à l’usage. Elle est enduite de fibres dans une résine époxy et son jet n’est pas dans une même direction.
 
Les premiers arrivants pourront envisager l’obtenir avant la fin de novembre et il faudra budgéter approximativement $150,00 canadien pour en obtenir une. N’allez surtout pas croire que je me transforme en marchand de cornes professionnel. La fabrication du maître et du moule m’a nécessité une patience qui s’étiole avec l’âge et sa durée de vie n’est pas très longue. Ceci est une opportunité du moment et il n’est pas dans les plans de l’allonger, ou de la répéter.
 
Je dois envisager dès maintenant les quantités de matériaux dont j’aurai besoin. Si la chose vous tente, laissez votre intérêt ici  Contact. Je vous recontacterai au moment ou la photo de la corne et le prix final seront disponibles, pour en effectuer le paiement. Si la participation est suffisante, j’envisage d'ouvrir un forum privé, dans lequel je vais exposer mes travaux en cours sur cette question.
 
N.B. L’autre corne suivra plus tard. Aucune des deux n’est appropriée à l’utilisation sous l’eau chaude.
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Plus d’explications sur la corne sont nécessaires. Ceux qui voudront consulter les découvertes que j’ai faites concernant Schauberger, peuvent les trouver ici.
 
En deux mots, la corne est un tuyau (voir quadrhyton dans le texte) fait de telle manière qu’il favorise l’écoulement de l’eau sous l’effet de la gravitation, en l’accélérant jusqu’à fournir à la sortie de la corne un jet d’eau 3,5 fois plus long que ne le ferait une simple colonne d’eau de même hauteur. C'est cette même particularité du transport de l'eau qui est recherché dans les engins de Schauberger.